Journal sportif d'un passionné de vélo. Entre autres.
Voilà j'y suis. Opération : J-2 pour une pose de prothèse unilatérale de genou. Et un mois d'arrêt dans la foulée avant de reprendre le boulot, donc le vélo. Mes lecteurs qui ont suivi mes déboires articulaires depuis la rédaction d'un des billets les plus lus sur mon blog et qui détaille mes traitements suivis sur ces 10 dernières années, vont enfin connaître son épilogue...
Je suis assez souvent sur les écrans pour couper un peu cette habitude lorsque je suis en vacances. Je n'ouvre mon PC que lorsque vraiment nécessaire, et je mets mon téléphone sur "silence". Alors pour les résumés de mes sorties, je vous fais un condensé quand je reprends le travail. Ce qui est le cas depuis lundi...
Voilà encore un bel exemple du manque de maturité dont je peux faire preuve quand je monte sur un vélo, et plus particulièrement sur un VTT.
J'ai roulé sur route samedi avec le sentiment de ne pas être au meilleur de ma forme et surtout avec un genou en souffrance. Dimanche matin, alors que rien ne se profilait au niveau du planning familial si ce n'est du repos pour tout le monde (chose que j'ai beaucoup de mal à faire), je suivais l'organisation d'une sortie VTT sur le groupe privé WhatsApp du #R4RC sur Gourdon...
Comme le stipule mon billet précédent, je me mets des mines en semaines sur mon HT sans lésiner sur la débauche d'énergie. Je suis même surpris d'avoir souvent du mal à cocher les fameuses étoiles qui récompensent les cyclistes virtuels les plus combatifs. Alors quand l'occasion se présente de rouler cool entre potes, je saute aussi sur l'occasion. Le VTT permet de rouler en groupe, sans prise de tête, parce que lorsqu'il y a de gros écarts de niveaux, les distances sur le terrain sont bien moins importantes que sur la route. De ce fait on attend un peu moins les moins expérimentés.
J'ai failli titrer ce billet : "50 - pipi - 50" ou un truc dans le genre : "Granfondo pour un popo" pour faire marrer encore plus mes lecteurs. Tout ça parce que je suis parti sur une route que j'apprécie beaucoup (celle en direction de Draguignan à partir de Grasse), que j'y ai roulé 50 bornes pour me dire que si je faisais demi-tour à ce moment là, je bouclerais mon Granfondo. Et c'est ce que j'ai fait ! Sauf qu'au point de retournement, je n'y ai assouvi qu'un besoin naturel léger. Le "popo" n'aurait été là que pour la rime...
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